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STATUES

FETICHE SONGYE - 1

Les Songyé ont créé des statues impressionnantes, des masques avec des traits puissants, utilisés par des sociétés secrètes. Les Songye habitent en République Démocratique du Congo (ex Zaïre) dans une zone traversée par le fleuve Lomani et limitée à l’ouest par le fleuve Sankuru.
Les statues fétiches Songyé, les mankishi, tiennent leur pouvoir des substances magiques appelées bishimba insérées dans la corne creuse qui surmonte la statue : L’extérieur de la corne est sensé représenter le concept masculin, tandis que l’intérieur symbolise le féminin. De plus, de nombreux accessoires augmentent le pouvoir de la statue. Tous ces éléments associés lui confèrent une grande puissance magique.Les statues de grandes dimensions (Plus de 60 cm) étaient destinées à protéger l’ensemble de la communauté et étaient conservées au centre du village dans un sanctuaire particulier confié à un gardien possédant le pouvoir de médium ; les statues plus petites étaient réservées à l’usage privé d’une personne ou d'une famille

 

hauteur = 47 cm sans corne             PRIX = 300 euros
 

GARDIEN DE RELIQUAIRE EYIMEA BIERY - FANG/NTUMU - 1

Le culte du Biery (culte des ancêtres) était pratiqué dan tous les villages Fang, aussi bien au Sud du Cameroun qu'au Gabon et Rio Muni. Ces reliquaires sont constitués de deux parties :
- la boîte coffre en écorce qui va contenir des reliques osseuses, que les Fang nomment nsekh o byeri, le ventre,
 - et la figure perpendiculaire qui surmonte la boîte : eyema o byeri qui signifie la tête,  évoquant à la fois le petit enfant et l'ancêtre, était fiché par le plot arrière et assis les jambes pendante sur la boîte à écorce.  Plus rarement, certaines statuettes pouvaient parfois receler de discrètes inclusions aux pouvoirs magiques, derrière les yeux incrustés de cuivre ou de miroir, sous les oreilles ou au sommet du front. Y étaient aussi ajoutés des fragments osseux ou le plus souvent des molaires humaines. D'après le livre Fang de Perrois, éditions 5 Continents.

 

hauteur = 60 cm                                 PRIX = 200 euros
 

FETICHE TEKE - 1 RDC ou congo brazzaville
 

Chez les Tékés, les statues sont généralement entourées de substances magiques protectrices dénomées Bilongo. Les propriétaires de ces fétiches peuvent détacher le Bilongo qui est le leur, et vendre le corps de la statue à d'autres familles.
Différents types de statues existent.
Parmi celles-ci, les Matomba avec un Bilongo en forme de tonneau, qui ceint généralement la taille de la statuette. Le Bilongo de ces Matomba leur confère une fonction atropopaique.
C'est le cas ici, mais le bilongo souvent « emballé » dans un linge, est ici apparent, couvert d'argile humide et parsemé de sable fin pour le consolider
 
La coiffure est sophistiquée, surmontée d'un chapeau-casque, la barbe trapézoïdale (symbole de prestige et de supériorité), les tatouages linéaires, Mabina, tracent des sillons parallèles sur le visage. Les jambes sont fléchies dans l'attitude de la danse sacrée Nibiki. Le personnage est armé, arme blanche et fusil.

Le fétiche est conservé dans la case personnelle des hommes et son pouvoir spécifique gardé secret jusqu'à la mort de son détenteur.
Pièce ancienne et rare. Bois

 

hauteur = 48 cm                                 PRIX = 300 EUROS

EXCEPTIONNEL - CULTURE BEMBE OU BABEMBE - STATUETTE D'HOMME ASSIS-1

 

Le personnage masculin est assis et tient un instrument de pouvoir, le visage est barbu et les yeux sont incrustés de fragments de faïence, une partie du crâne est rasée, l'autre recouverte d'une chevelure lissée à l'arrière de la tête, l'abdomen est tatoué de motifs traditionnels en relief (scarifications) , les pieds surdimensionnés. Patine sombre et brillante.

Dans ces statuettes, le plus souvent, de tailles réduites, allant d’une dizaine à une vingtaine de centimètres, sculptées avec une minutie toute particulière, tout dans cette statuaire est précieux et puissant en même temps.

La statue se comprend  comme un hommage posthume à l'ancêtre, à la personnalité décédée et une sollicitation pour qu’elle dispense encore ses bienfaits, post-mortem, en protégeant les membres de son groupe. La protection qu’elle accorde aux vivants se fonde principalement sur des capacités magiques ou est du moins en rapport avec le monde invisible ; le « regard blanc » de cet ancêtre l’indique. Ses yeux perçants suggèrent qu’elle « voit » au-delà du monde sensible. Cette faculté est indispensable pour se protéger des « sorciers » dont les aptitudes à changer d’apparence ne connaissent pas de limites et pour lutter à armes égales contre eux.

 

hauteur = 23 cm                                    PRIX = 400 euros

FETICHE À CLOUS NKONDI - KONGO-BAKONGO  RDC-EX ZAIRE-EX CONGO BELGE

 

L’ethnie Kongo est l’une des principales ethnies de la République Démocratique du Congo, ancien Zaïre, ancien Congo belge.

 

Nullement maléfique, la sculpture n'a pas de posture agressive, et ne provoque pas d'effroi. Elle représente un esprit anthropomorphe prêt à punir une personne ou un autre esprit responsable d’un mauvais sort. Les miroirs incrustés dans ses yeux indiquent un caractère emprunt de clairvoyance et de sapience. L'origine de ces forêts de clous pourrait venir des commerçants portugais et de leurs crucifix, et la cavité abdominale souvent rectangulaire des statues pourrait avoir une une filiation avec les reliquaires chrétiens. Ce sont d'ailleurs les marins portugais qui, portant sur eux des amulettes (feitiço), rangèrent les premiers sans la dénomination de "fétiche" tout type d'objet lié à des pratiques magiques.

 

Les fétiches à clous Bakongo, appélés nkondi ou nkondé, étaient révérés à travers tout le royaume du Kongo. Ils étaient les « porteurs » d’une série d’objets magiques, appelés nkissi (l'esprit), qui étaient installés sur la tête ou l’abdomen de la sculpture dans une cavité refermée par un miroir. Les nkondi étaient révérés par leur propriétaire ou par un spécialiste, devin guérisseur appelé, nganga, pour apaiser ou  contenter les différents esprits qui dirigent le monde afin d'exécuter un "contrat"(appelé prière) le plus souvent de protection. Cette statue permettrait notamment la sanctification de voeux et serments échangés entre le nganga et son client. Afin « d’activer » ses forces et de provoquer le nkondi, le nganga doit l’insulter, chanter, créer une explosion à ses pieds ou même insérer un clou ou une lame dans la sculpture afin de "sceller" les contrats passés entre le demandeur et nganga. Cet élément métallique était au préalable léché par demandeur ou le devin. Tant que le métal restait fiché dans le bois, les parties étaient tenus au respect de leurs engagements. L'accumulation de morceaux de métal ou de clous est une preuve de l'éfficacité de l'objet, au fil des nombreuses affaires traitées.

 

Pourla plupart des nkondi, des cordes ou des chaînes lassées entre les clous maintiennent toute cette force "unie"

hauteur = 76 cm             PRIX = 300 euros

STATUE METOKO

 

Représentés dans les différents objets culturels, masque, figurine et sculpture qu’on appelait « Kakongo », les Metoko et les Lengola, quoique peuplades sauvages de la forêt, croyaient tous en Dieu créateur.

Ce Dieu pour eux était conçu comme premier ancêtre ou comme héros culturel.

C’est l’héritage de la croyance du peuple Lega qui est transmis aux autres peuples issus de son lignage.

La croyance dans l’esprit de la nature était assez développée.

Mais la référence des ancêtres pour atteindre Dieu était la plus importante.

Chaque individu pouvait invoquer l’esprit de son lignage majeur dans son village.

Il invoquait aussi ceux de son oncle s’il se trouvait dans le village de celui-ci.

Parmi les rites de passage, seuls ceux de la croyance méritaient êtres mentionnés, par exemple le « Tshoo » des Metoko.

 

Bel exemplaire de statue féminine avec traces de kaolin et de bleu lessive qui mettent en valeur les nombreuses scarifications

 

 hauteur 52 cm      livrée sans socle  PRIX = 300 euros

 

STATUE RITUELLE IBO IGBO IDOMA DU NIGERIA-1

 

Statue féminime fumant une pipe (ou soufflant dans une trompe), richement ornée de sculptures figurant ses attributs féminins, bracelets en ivoire, collier de perles, cloche de ceinture.

On peut y voir des motifs scarificatoires très complexes ainsi que de nombreux motifs géométriques.

 

On peut voir un exemplaire similaire dans le Philipps (Africa, the art of a continent page 387). Il y explique que ce type de sculpture est une transition entre le style Ibo du Nord et celui des Idoma du Sud.

 

On suppose que ce type d'objet représentant un ancêtre féminin du lignage aurait eut un emploi dans les cérémonies funéraires, en rapport avec le matrilinéage, plus précisément la société Ekwotame.


HAUTEUR : 71 CM   livrée sans socle      PRIX = 400 euros

FIGURE D'ANCETRE EKPU - ORON - NIGERIA

 

Au sud-est du Nigeria, l'estuaire de la Cross River est peuplé par les Oron, les Efik et les Ejagham. Les Oron sont très proches culturellement des Ibibio et étaient, entre autres, réputés pour leurs sculptures : les figures Ekpu réalisées à l'occasion du décès d'un notable. Ces statues portent toutes une barbe (souvent tressée), parfois une coiffe et tiennent dans leurs mains un objet caractéristique du pouvoir du chef décédé. Le style de la statuaire varie assez peu. Ces effigies d'ancêtres étaient alignées dans des sanctuaires et honorées deux fois par an par les anciens qui leur faisaient des offrandes. Ces figures cessèrent toutefois d'être sculptées dès le début du XXème siècle. D'après l'ouvrage Nigerian Primitivism (catalogue 2007, textes de P. D. Claes et F. Neyt), il y eut un musée à Oron, inauguré en 1959, qui compta jusqu'à 600 statues réunies grâce à Kenneth Murray. La guerre civile, les pillages... on ne dénombra plus qu'une centaine de statues au Nigeria. Le musée existe toujours à Oron; il a été rouvert en 1977... «un certain nombre» d'effigies d'ancêtres s'y trouvent, parait-il. 

 

Très bel exemplaire ancien avec fissures et petites manques dus à l'ancienneté. Restes ou traces de polychromies.

Produit résineux d'offrandes et de "soins" apportés à la statue.

Visage posé, noble et serein.

 

Les photos font partie de la description.

 

HAUTEUR = 60 cm   livrée sans socle        PRIX =  250 euros

FETICHE SONGYE - 3

 

 

​Les Songyé ont créé des statues impressionnantes, des masques avec des traits puissants, utilisés par des sociétés secrètes. Les Songye habitent en République Démocratique du Congo (ex Zaïre) dans une zone traversée par le fleuve Lomani et limitée à l’ouest par le fleuve Sankuru.

Les statues fétiches Songyé, les mankishi, tiennent leur pouvoir des substances magiques appelées bishimba insérées dans la corne creuse qui surmonte la statue : L’extérieur de la corne est sensé représenter le concept masculin, tandis que l’intérieur symbolise le féminin. De plus, de nombreux accessoires augmentent le pouvoir de la statue. Tous ces éléments associés lui confèrent une grande puissance magique.Les statues de grandes dimensions (Plus de 60 cm) étaient destinées à protéger l’ensemble de la communauté et étaient conservées au centre du village dans un sanctuaire particulier confié à un gardien possédant le pouvoir de médium ; les statues plus petites étaient réservées à l’usage privé d’une personne ou d'une famille

 

hauteur = 72 cm sans corne, 85 avec           PRIX = 350 euros

Statue Cultuelle Ottote - Kuyu / Kouyou - RDC Zaire / Congo

 

Jadis, les Kuyu étaient divisés en deux clans totémiques :

à l'Ouest, celui de la panthère et à l'Est celui du serpent.

Une association masculine secrète, Ottoté, jouait un rôle politique important dans la nomination des chefs.
L'initiation des jeunes gens se terminait par la révélation du serpent dieu Ebongo représenté sous la forme d'une tête.

Les danses qui accompagnaient la cérémonie réactivaient les étapes successives de la création.
Le clan de la panthère avait un tambour pour emblème.
De son côté, celui du serpent possédait des têtes sculptées, peintes de couleurs vives, sur des bâtons que le manipulateur, dissimulé sous une longue robe, tenait les mains tendues au-dessus de sa tête.

Après l'exhibition du serpent, venaient des figures sculptées qui représentaient le couple primordial : Joku, le père et Ebotita, la mère.

 

hauteur =   73 CM                                                 PRIX = 600e

STATUE RITUELLE IBO IGBO IDOMA DU NIGERIA-2

 

Statue féminime fumant une pipe (ou soufflant dans une trompe), richement ornée de sculptures figurant ses attributs féminins, bracelets en ivoire, collier de perles, cloche de ceinture.

On peut y voir des motifs scarificatoires très complexes ainsi que de nombreux motifs géométriques.

 

On peut voir un exemplaire similaire dans le Philipps (Africa, the art of a continent page 387). Il y explique que ce type de sculpture est une transition entre le style Ibo du Nord et celui des Idoma du Sud.

 

On suppose que ce type d'objet représentant un ancêtre féminin du lignage aurait eut un emploi dans les cérémonies funéraires, en rapport avec le matrilinéage, plus précisément la société Ekwotame.


HAUTEUR : 89 CM   livrée sans socle      PRIX = 600 euros

STATUE D'ANCÊTRE HEMBA (SONGHITI DE STYLE NIEMBO)-VENDU
 

Les Hemba habitent dans la partie est de la République démocratique du Congo.

Les statues Hemba sont en majorité masculines et expriment symétrie, statisme et équilibre. La tête est ovale avec des yeux mi-clos, une barbe stylisée et est surmontée d’une coiffe très sophistiquée souvent en forme de croix. La petite cavité au sommet de la tête était utilisée pour poser les offrandes à l'ancêtre. La plupart portent un pagne autour des reins d’où une attention moindre apportée à l’exécution des membres inférieurs. Les bras et les avant bras sont ramenés sur le ventre, les jambes sont parallèles et fléchies, le buste est droit. Certaines statues d’ancêtre Hemba indiquent leur statut par le port de bracelets, de ceintures, de scarifications et de lance. La patine est lustrée.

La statuaire Hemba représente des hommes nus dont les coiffures, les parures, les tatouages et autres emblèmes de prestige prennent une importance très forte. Ces statues, toujours masculines, souvent de grande taille, sont toutes des représentations des ancêtres Hemba et donc liées à leur culte (statues aussi nommées Songhiti ou Singiti).

 

HAUTEUR : 75 cm  -   À RETIRER SUR PLACE (SANS SOCLE)

STATUE D'ANCETRE BOYO - 1  CONGO - VENDUE

 

Les Boyo ou Mboyo font partie du groupe ethnique appelé pré-Bembé, tout comme les Basikongo, Bahutshwe, Babwari... et se situent géographiquement autour du lac Tanganiyka.

Leur art se situe à mi-chemin entre le style Luba et Lega et a souvent été attribué à tort aux Bembé qui n'ont jamais fabriqué et utilisé de statues.

Ce type de sculptures, male ou femelle, sont utilisées dans le cadre du culte des ancêtres.
Elles sont gardées sur un autel et représentent les ancêtres défunts tout en servant d'intermédiaire entre les morts et les descendants de chaque lignage.

En temps de crise, le gardien de l'autel qui est souvent aussi le chef du village les invoque et leur fait des offrandes en échange de leur aide.

Ces statues forment des ensembles très similaires.
La plus grande étant souvent la plus ancienne, celle du plus lointain ancêtre, qui va servir de prototype de départ.
Les suivantes, sont similaires à la première, mais plus petites, au fur et à mesure que l'on se rapproche du temps présent.

 

hauteur =  52 cm               PRIX = 

 

FETICHE SONGYE - 4- PORTEUR DE MASQUE - VENDU

 

 

Les Songyé ont créé des statues impressionnantes, des masques avec des traits puissants, utilisés par des sociétés secrètes. Les Songye habitent en République Démocratique du Congo (ex Zaïre) dans une zone traversée par le fleuve Lomani et limitée à l’ouest par le fleuve Sankuru.

Les statues fétiches Songyé, les mankishi, tiennent leur pouvoir des substances magiques appelées bishimba insérées dans la corne creuse qui surmonte la statue : L’extérieur de la corne est sensé représenter le concept masculin, tandis que l’intérieur symbolise le féminin. De plus, de nombreux accessoires augmentent le pouvoir de la statue. Tous ces éléments associés lui confèrent une grande puissance magique.Les statues de grandes dimensions (Plus de 60 cm) étaient destinées à protéger l’ensemble de la communauté et étaient conservées au centre du village dans un sanctuaire particulier confié à un gardien possédant le pouvoir de médium ; les statues plus petites étaient réservées à l’usage privé d’une personne ou d'une famille

 

hauteur=79 cm sans corne, 103 avec           

GARDIEN DE RELIQUAIRE TRICEPHALE EYIMEA BIERY - FANG/NTUMU -  VENDU

 

Le culte du Biery (culte des ancêtres) était pratiqué dans tous les villages Fang, aussi bien au Sud du Cameroun qu'au Gabon et Rio Muni. Ces reliquaires sont constitués de deux parties :

- la boîte coffre en écorce qui va contenir des reliques osseuses, que les Fang nomment nsekh o byeri, le ventre,

 - et la figure perpendiculaire qui surmonte la boîte : eyema o byeri qui signifie la tête,  évoquant à la fois le petit enfant et l'ancêtre, était fiché par le plot arrière et assis les jambes pendante sur la boîte à écorce.  Plus rarement, certaines statuettes pouvaient parfois receler de discrètes inclusions aux pouvoirs magiques, derrière les yeux incrustés de cuivre ou de miroir, sous les oreilles ou au sommet du front. Y étaient aussi ajoutés des fragments osseux ou le plus souvent des molaires humaines. D'après le livre Fang de Perrois, éditions 5 Continents.

 

Cette ancienne pièce rare est tricéphale et possède de remarquables inclusions en cuivre ou laiton repoussé principalement sur les pectoraux et au sommets des trois têtes, laissant vraissemblablement  3 cavités

 

hauteur=67 cm                         PRIX=  

STATUE BAGA NALU 102 cm - VENDUE

 

Une rare représentation de figure masculine  des bagas de guinée

Les bagas avaient une riche tradition de masques et de sculptures multi-fonctionnelles avant l'arrivée de l'Islam qui en a supprimé une bonne partie.

 La pièce la plus connue reste la fameuse déesse mère et de fertilité baga demba ou d'mba, injustement appelée baga nimba, masque d'épaule servant pour les cérémonie de mariage, de récoltes et les problèmes de fertilité. Cette pièce est surtout rendue remarquable par les caractéristiques de la tête de ce masque géant, caractéristique que l'on retrouve entièrement dans cette statue (d'ancêtre?)

Les Bagas ont produit aussi des statues appelées tambaane, tsakala, ou kelefa, avec une tête extremement importante et des pieds réunis, construite avec une stylisation anguleuse, un nez fort , sans mains ou avec des mains restant sous le menton.

Ces statues étaient conservées dans des huttes rondes par la société Simo.

 

 hauteur 102 cm    PRIX= 

FETICHE SONGYE - 2 - VENDU

 

Les Songyé ont créé des statues impressionnantes, des masques avec des traits puissants, utilisés par des sociétés secrètes. Les Songye habitent en République Démocratique du Congo (ex Zaïre) dans une zone traversée par le fleuve Lomani et limitée à l’ouest par le fleuve Sankuru.

Les statues fétiches Songyé, les mankishi, tiennent leur pouvoir des substances magiques appelées bishimba insérées dans la corne creuse qui surmonte la statue : L’extérieur de la corne est sensé représenter le concept masculin, tandis que l’intérieur symbolise le féminin. De plus, de nombreux accessoires augmentent le pouvoir de la statue. Tous ces éléments associés lui confèrent une grande puissance magique.Les statues de grandes dimensions (Plus de 60 cm) étaient destinées à protéger l’ensemble de la communauté et étaient conservées au centre du village dans un sanctuaire particulier confié à un gardien possédant le pouvoir de médium ; les statues plus petites étaient réservées à l’usage privé d’une personne ou d'une famille

hauteur=73 cm sans corne               PRIX=

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